Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
Cette nouvelle science « internelle » cherchée ici, ne serait ce pas la TGD de Matti Pitkanen ?
J’ai écrit pour l’instant deux articles sur cette « nouvelle science » (pure spéculation de ma part pour l’instant) « internelle » , analogue pour le plan des « Idées » à ce qu’est la physique (moderne, mathématique, pas la physique aristotélicienne « physique métaphysique qui était un tissu de dissertations abstraites et chimériques autour des croyances primitives »)pour le plan vital:
Ce qui est recherché ainsi c’est un deuxième « déplacement dans l’axe de la vie religieuse » , déplacement dont notre époque nous semble avoir un besoin urgent, déplacement ou changement d’axe analogue à celui dont parle Brunschvicg à propos de l’émergence de la science moderne au 17 éme siecle européen, émergence permise par le retour à la spiritualité pure de Platon opéré par Descartes , après les siècles de ténèbres aristotéliciennes caractérisant la philosophie judéo-arabe aussi bien que la scolastique européenne et l’averroisme latin au Moyen Âge…