Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
qui dit ceci , que j’approuve, sur les dernières lignes de cette nouvelle « Les morts »:
« Ce dernier paragraphe durant lequel Gabriel laisse son esprit parcourir le passé, l’avenir, les regrets, les amertumes, est l’un des moments intense de la littérature humaine. Il complète le chant de tante Julia et s’harmonise avec la tristesse du chant « the lass of Anghin ».Jamais passage n’a suscité autant d’émotion.
Tout le corps de la nouvelle n’est la que pour cette ultime plainte. »
Le texte, admirable, de ces dernières lignes de la nouvelle est ici:
Le livre de Michel Onfray paru récemment « Décadence », qui vient après « Cosmos » et précède un troisième volume « Sagesse » est un gros pavé de 652 pages (en comptant la bibliographie et les « index ») qu’il n’est pas inintéressant de lire en entier si l’on s’intéresse à la philosophie,à l’histoire et aux « religions » car on y apprendra toujours quelque chose, ne fût ce que sur l’état fort délabré de notre pays à tous les points de vue et surtout au point de vue « intellectuel » (celui qui prime); mais nous manquons toutes et tous de temps, et la question à se poser est de savoir si les Temps utilisé pour lire ces centaines de pages ne serait pas mieux utilisé , par exemple à faire l’amour avec sa femme ou sa chérie (Onfray ne pourra pas récuser cet exemple, c’est la raison pour laquelle je le choisis) ou bien à lire d’autres livres, comme…