Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
J’ai vu le film fin 1967 au cinéma « Studio de l’Etoile » tout près derrière l’Arc de Triomphe, j’allais avoir quinze ans…
C’est un film fascinant à cause de sa tonalité « orphique » , sensible dans le scénario et la musique obsédante composée par David Raksin à l’époque , Raksin a aussi créé les musiques des films de Minnelli « les ensorcelés »(The bad and The beautiful) en 1952:
Pour Laura en 1944 Raksin n’y arrivait pas, il avait pris beaucoup de retard et devait absolument fournir la musique pour le lundi. le samedi matin il reçut la lettre d’un avocat l’informant que sa femme demandait le divorce. Or Raksin était , ceci explique peut être cela, follement amoureux de sa femme (cela arrive, même à Hollywood, tous les hommes ne sont pas des « libertins » assoifés de…