Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
Les trois amis Mike, Nick et Steve prisonniers du Viêt-cong (=« Charlie ») sont forcés de jouer à ce « jeu » anti-naturel ( car celui qui y joue n’est pas dans la position du candidat au suicide, il veut vivre et doit se tirer dans la tête avec moins d’ue chance sur six de survivre). La scène de jeu forcé par les geôliers Viêt-cong est ici :
Mike et Steve réussissent à retourner au pays, mais Nick reste au Vietnam, où il devient un « compétiteur » en roulette russe, car ce jeu peut devenir aussi un jeu d’argent, où les spectateurs misent sur le dernier joueur qui restera en vie. Mike retrouve Nick et joue contre lui en essayant de le persuader de renoncer, mais peine perdue : Nick se…