Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
L’opposition entre l’idéalisme révolutionnaire de Miguel et le cynisme de tueur à gages de Lino Ventura est tranchée, mais c’est ici le lieu de dire qu’il s’agit d’un exemple du faux idéalisme, d’ailleurs toujours démenti par les faits, à chaque « révolution » : s’il était possible de « changer le monde » ça se saurait, depuis le temps. A ce mensonge des belles âmes de gauche s’oppose l’idéalisme véritable, celui qui sait que le monde, le plan vital, n’a aucune valeur , car il est le plan de la finitude. « Notre besoin de consolation est impossible à rassasier « (Stig Daggerman) à rassasier au moyen du fini : on ne remplit (ou ne vide ) pas un océan à la petite cuillère. Le seul « infini » est le plan de l’Idée .
Cela soit dit jusqu’à la prochaine révolution, jusqu’à la prochaine trahison de la révolution : le pouvoir ne se…