Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
est plus orienté vers les problèmes philosophiques.
Ce qui est appelé , dans l’exposé d’Isham comme dans celui de Doering, « réalisme » n’est pas le réalisme dont je parle ici défavorablement comme découlant d’une structure mentale propre aux peuples primitifs d’avant la « ligne de démarcation des temps » au 17ème siècle européen :
Dans le travail d’Isham et Doering, « réalisme » est opposé à « instrumentalisme » alors que dans ce blog, influencé pour ne pas dire plus par la pensée de Léon Brunschvicg, c’est l’opposition idéalisme-réalisme qui est thématisée comme séparation entre ce qui vient…
»« Nous avons tous conscience que nous approchons d’un mouvement extrême du temps, de ce que j’appellerais un changement de temps. » »
« En effet, 1968 s’approche. Et là, Blanchot se déchaîne en révolutionnaire absolu, communiste de façon radicale et originale puisqu’il veut fonder une « communauté anonyme », « inavouable » [1], un « communisme d’écriture » passant par l’aventure fiévreuse et cocasse d’un Comité Etudiants-Ecrivains (je revois Marguerite Duras, pythie locale, tirant de son sac, de temps en temps, des instructions manuscrites de Blanchot). Le lyrisme augmente : nous vivons un événement « prodigieux », « démesuré », « irrépressible », l’avènement d’une nouvelle ère où le fantoche de Gaulle va disparaître à jamais (ce qui n’est pas faux, mais pas dans le sens prévu, l’actuel président de la République le prouve). »
cette haine contre De Gaulle n’est elle pas un résidu de 1944 ?
J’ai dit que je voyais plusieurs voies vers la physique permettant de distinguer monde imaginaire et monde véritable : relativité générale, théorie des cordes, gravité quantique à boucles, TGD de Matti Pitkanen, physique des topoi, ainsi que la « physique du processus » qui se présente comme une alternative à toutes les précédentes ( considérées par Reginald Cahill comme « non process « physics) . Mais pour des raisons qui se trouvent dans les derniers articles, je me concentre pour le moment et pour un bon bout de temps (pour toujours ?) sur la physique des topoi.
Il y a en schématisant trois époques dans la montée d’ importance de la théorie des topoi en physique :les travaux d’Isham et Butterfield à la fin du siècle dernier, le grand article d’Isham et Doering qui a eu une portée révolutionnaire (Badiou dirait que ce fut un événement ) et ce qui…
Le Saint Graal cherché ici sous le nom (qui n’est pour le moment qu’un pur nom) de « monde véritable » sera donc une unification de la physique microcosmique de l’infiniment petit ( la physique quantique ) et de l’infiniment (ou plutôt indéfiniment) grand ou macrocosmique ( Relativité) . C’est à dire les deux infinis de Roger Penrose dans « Les deux infinis et l’esprit humain » . Je n’ose pas dire une « théorie de tout » car il est peu probable que celle ci , cherchée par tous les plus grands savants depuis Einstein, soit découverte dans un blog d’amateur.
Les voies de recherche sont diverses, même si à un moment il faudra bien choisir : théorie des cordes (string theory), gravité quantique à boucles ( loop quantum gravity), physique du processus ( process physics) et certainement bien d’autres.
La scène que je juge centrale se situe à 1h 04 minutes, avec l’entrevue du comte de Lauzin , décoré de guerre, et de Louise. Le comte refuse d’être appelé « un héros » mais avoue à Louise, dont le mari s’est travesti en femme pour échapper au champ de bataille, sa « nostalgie du front « : « Les déserteurs n’ont pas compris l’expérience du front, ce ne sont pas des hommes. Ils n’ont pas su voir que monter au front, c’est monter au ciel »
»monter au ciel , quand le cœur fait peau neuve, parce que le soldat qui donne sa vie pour la…