Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
La question du temps est associée à la question centrale de toute l’oeuvre de Heidegger : l’élucidation du sens de l’être, notamment dans le traité majeur qu’est « Être et temps », dont il existe plusieurs traductions sur le web ( en fait une seule et même traduction, celle d’Emmanuel Martineau) :
Je connais mal la pensée de Heidegger, et d’ailleurs Brunschvicg cela va mal avec Heidegger, comme avec Husserl d’ailleurs : à ma connaissance il ne parle que très rarement de l’un comme de l’autre ( je n’ai rencontré qu’une fois un passage sur Husserl, et encore, assez critique sur la notion de « Wesenschau », Einstein est bien plus important pour lui :