Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
La vision de l’unité des mathématiques de Grothendieck au delà de celle de Lautman
« la contribution de Lautman s’avère fort singulière et originale en ce qu’il avance une unité métaphysique. La proposition de Lautman est d’autant plus singulière que la problématique y est campée à l’aide de paires de concepts antithétiques qui sont quant à eux résolument mathématiques.
Pour cette raison, le présent article s’affaire à mettre en parallèle la position métaphysique de Lautman sur l’unité des mathématiques avec celle du mathématicien français Alexandre Grothendieck. En effet, Grothendieck envisagea la question de l’unité des mathématiques en des termes mathématiques similaires à ceux de Lautman. En contrepartie, le concept de topos lui permit de résoudre l’opposition antithétique fondamentale à l’aide des mathématiques elles-mêmes.«
L’unité des mathématiques, c’est l’unité de la pensée humaine et il est essentiel qu’elle soit envisagée en termes mathématiques plutôt qu’en termes dits « philosophiques » ou « métaphysiques » c’est à dire en mots ou logoi ( words! Words! Words! dit Hamlet) Le principe…