Voici un article remarquable en deux partie, qui laisse présager à court ou moyen terme une guerre civile en France, ou sans doute en Europe:
et
Certes Georges Bensoussan explique la situation actuelle par la grande saignée de la première guerre mondiale, dont la France qui figurait au nombre des vainqueurs ne s’est jamais relevée.
On peut d’ailleurs parler comme Max Gallo d’une « guerre de Trente ans » (1914-1944), qui se transforma en guerre mondiale mais commença, aussi bien en 1914 qu’en 1939, comme une guerre européenne.
Mais pourquoi ? pourquoi l’humanité européenne, hautement éduquée, anciennement christianisée, ayant reçu de longue date l’influence de la Grèce antique et de ce que l’on appelle les « humanités », cette humanité européenne qui crée la science et la philosophie modernes, qui est celle aussi des Lumières et du droit, pourquoi se livre t’elle ainsi au vingtième siècle à cette course à l’abîme?
Ici l’examen de l’Histoire nous donnera plusieurs raisons , plusieurs « causes », je serais d’ailleurs bien en peine de les énumérer toutes, tout dépend d’ailleurs de combien de siècles en arrière on remonte, puisqu’on peut affirmer que l’Europe était déjà en « gestation » trois mille ans en arrière, ou même 50000 si l’on remonte à cromagnon et Néanderthal…citons en vrac : les empires coloniaux, la Révolution française et les guerres napoléoniennes, la guerre de l’Europe chrétienne contre les Ottomans, où la France a souvent été perçue par ses voisins européens comme faisant le jeu de l’islam, etc..etc..etc..
Mais, à la fin des fins, cela ne nous donnera pas le pourquoi, celui qui s’impose et met fin à toutes les questions, celle ci notamment qui revient lancinante:
« Oui mais pourquoi, suite à de tels faits historiques, l’humanité européenne a t’elle réagi comme cela, jusqu’à provoquer deux guerres mondiales, et jusqu’à la volonté d’anéantissement à laquelle nous assistons depuis 1975, depuis 40 ans d’immigration forcenée ? »
Et pourquoi, surtout, jusqu’à l’inconcevable, l’indicible de la Shoah ?
Qu’un génocide se produise dans des sociétés inférieures comme la Turquie de 1915 ou le Rwanda de 1994, c’est intolérable mais on peut à la rigueur l’envisager, de par les rivalités tribales ou bien la mentalité musulmane forgée de longue date par la Sharia qui considérait les dhimmis arméniens comme des sous-hommes…mais dans une société européenne qui avait été celle de Kant, ou Einstein ?
Ici l’interview de Georges Bensoussan dans le Figaro a le grand mérite de ridiculiser et condamner le « catéchisme moral » de la Shoah, qui l’a banalisée en la comparant à la prétendue naqbah des Palestiniens, ou bien au prétendu génocide de SreBrenica: ceci fonctionne comme un véritable étouffoir de la réflexion.
Il nous faut donc chercher la réponse à notre question sur un registre supérieur, métaphysique, et non plus seulement factuel (bien que les faits historiques puissent servir à vérifier ou réfuter nos conclusions.
Et nous ne pouvons la chercher que sur la période qui distingue absolument l’humanité, la civilisation européenne de toutes les autres, y compris de l’Europe telle qu’elle était avant la période historique dont je parle, avant la ligne de démarcation du cartésianisme:
https://meditationesdeprimaphilosophia.wordpress.com/2012/03/06/la-ligne-de-partage-des-temps/
la ligne de partage des temps, qui pour les chrétiens est la naissance de Jesus-Christ, pour les juifs…je ne sais pas, (la sortie d’Egypte ?) pour les musulmans la descente du Coran, mais qui pour nous qui nous voulons vraiment religieux, pour nous qui voulons vraiment « dépouiller le vieil homme » ne peut être que la « nuit de songes de Descartes » du 10 au 11 novembre 1619:
http://singulier.info/rrr/2-rdes1.html
nuit suivant la journée au cours de laquelle il trouvé les fondements de l’admirable science, selon le récit de Baillet:
«
Il nous apprend que le dixième de novembre mil six cent dix-neuf, s’étant couché tout rempli de son enthousiasme et tout occupé de la pensée d’avoir trouvé ce jour-là les fondements de la science admirable , il eut trois songes consécutifs en une seule nuit, qu’il s’imagina ne pouvoir être venus que d’en haut.
»
évidemment Descartes ne peut parler que le langage de l’ancienne époque puisque la nouvelle ne va naître qu’au cours de cette nuit obscure car ultra-lumineuse, Descartes reste chrétien : mais « en haut » désigne pour nous qui venons quatre siècles après le plan spirituel, plan de l’Idée, qui est nommé « cieux » (שמים = Shamayim par opposition à Eretz = terre qui désigne le plan vital ) au premier verset de la Torah. La pensée de la nouvelle époque d’après la ligne de démarcation est entièrement active, virile (non au sens de sexe masculin), solaire, conquérante, par opposition à l’ancienne époque lunaire, orientale, passive, recevant des « révélations » par les « prophètes » et ce n’est pas pour rien que Jean-Luc Marion tente d’annexer Descartes à sa thèse de la « donation-réception », niant la possibilité d’une pensée active, créatrice.
Science-sagesse admirable que nous appelons ici:
«
HENOSOPHIA TOPOSOPHIA MATHESIS ενοσοφια τοποσοφια μαθεσις υνι√ερσαλις οντοποσοφια
et qui n’est autre que cette « Réforme absolue du savoir humain » que le philosophe-mathématicien Hoené Wronski tenta de fixer dans le livre de 1847 qui porte ce titre, mais sans y réussir parce que ce « Livre » est celui auquel le monde doit aboutir: le plan spirituel.
Voir aussi notre article assez ancien:
https://mathesisuniversalis.wordpress.com/mathesis-universalis-et-totalite/
Cette période de quatre siècles (1619-2015) qui marque la spécificité européenne et à laquelle nous devons donc nous restreindre pour expliquer la spécificité du destin de l’Europe, elle est encadrée quasi-symétriquement par deux « crises » (crise vient de krisis = jugement) dont parlent deux grands livres écrits au 20 eme siècle (au milieu des années 30 tous les deux) :
« La crise de la conscience européenne 1680-1715 » de Paul Hasard:
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/La_Crise_de_la_conscience_européenne
et
http://classiques.uqac.ca/classiques/hazard_paul/crise_conscience_europe/crise_conscience.html
et « la crise des sciences européennes et la philosophie transcendantale » d’Edmund Husserl
http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/file/husserl_depraz.pdf
Cette crise est à mon sens la suivante : la physique mathématique , déplacement dans l’axe de la vie religieuse selon Brunschvicg, n’a pas été inventée pour les progrès techniques, militaires et économiques qu’elle allait aussi apporter, car ceux ci ne sont venus que plus d’un siècle après, avec les premières machines à vapeur.
Elle a été inventée par des européens pour permettre à l’humanité européenne de se donner une forme de vie nouvelle, libérée de la Tradition et se donnant soi même son destin dans l’autonomie de la pensée et du jugement.
Cette autonomie consiste, dans la terminologie que j’emploie ici sous l’influence des trois premiers chapitres de « Raison et religion » de Léon Brunschvicg, dans l’appréciation exact de ce qu’est le plan spirituel (caractérisé par cette autonomie radicale) vis à vis du plan vital caractérise par l’asservissement de la conscience vis à vis des instincts. Il n’y a pas de liberté sur le plan vital, il ne peut pas y en avoir : la liberté « filtre » dans le monde en provenance du monde des Idées, comme tout ce qui est de l’ordre des valeurs véritables. Une valeur ne peut exister dans le monde sur le mode de l’être, elle y « apparaît » sur le mode du « doit être », toujours par l’intermédiaire d’une ou plusieurs consciences humaines , la liberté n’est pas (en tant que réalisée dans le monde) mais doit être, en tant au horizon pour l’action et la praxis vraiment humaine.
Un exemple : la sexualité en tant que symbole même du plan vital ne peut pas être libre, la « liberté sexuelle » est une baliverne. Tel homme, telle femme croit aimer tel partenaire librement, mais en fait c’est son instinct animal, qui dépend en partie de son histoire passée, qui le ou la pousse.
Seulement cela ne saurait être une justification pour le viol, ou pour le mariage forcé, qui n’est d’ailleurs qu’une forme de viol, ou pour les punitions en cas de sexe hors du mariage ou d’adultère….
Car notre conduite pratique en tout temps et en tout lieu doit être guidée par l’étoile polaire des Idées de Liberté, de Bien, de Vrai…or si je viole, si je force quelqu’un à se marier contre son gré, si je frappe ou lapide la femme adultère, j’obéis à mon instinct animal, individuel ou social: je ne suis plus guidé par les Idées éternelles, je commets le Mal.
Donc la science moderne, mathématique, qui au 17 eme siècle n’était pas encore séparée de la philosophie, n’a pas été créée pour la richesse ou la puissance économique et militaire, puisque les applications techniques militaires ou industrielles n’existaient pas à l’époque , personne ne pouvait en avoir l’idée. La science a été créée pour donner une juste vision et compréhension de la différence entre plan vital, ou plan de l’être, ou plan ontologique, et plan spirituel, ou plan des Idées et des Valeurs (véritables).
Je dis « juste compréhension » car il en existait déjà une, mais fausse : je veux parler de la vision du plan spirituel données par les religions et sectes ou systèmes se prétendant « de sagesse »: il y aurait lieu d’en parler pendant des heures, des mois, des années tant l’histoire de tels « systèmes de croyances » est complexe et embrouillée, je me bornerai donc à expliquer pourquoi tous ces systèmes existant avant l’émergence de la science ne pouvaient être que faux et mauvais (encore que bien sûr il faudrait introduire des nuances à l’infini): c’est que TOUS concevaient le plan des Idées et des valeurs sur le modèle du plan de l’être, du monde naturel caractérisé par la multiplicité indéfinie des étants. Or ici nous avons une célèbre citation de Brunschvicg qui comme d’habitude fait la lumière:
« Les trois propositions génératrices du scepticisme, de l’immoralisme, et de l’athéisme sont : le Vrai est, le Bien est, Dieu est »
On pourrait d’ailleurs y ajouter:
« La proposition génératrice de la dictature et de l’asservissement est : la liberté est »
Proposition que l’on rencontre généralement sous cette forme : « Je suis libre de faire, de dire, de penser ce que je veux » suivie de « et je t’emmerde ».
La liberté ce n’est pas de faire ce dont j’ai envie, poussé par mes pulsions et mes instincts : c’est de penser, de vivre et d’agir guidé par les Idées éternelles.
C’est Platon qui le premier a exprimé cette thèse dans sa philosophie, grâce sans doute à Socrate ainsi que par la connaissance des philosophes-savants plus anciens comme Thales, peut être par Pythagore, voir:
http://revistadefilosofia.com/11-3.pdf
Mais comme dit Brunschvicg « le miracle Grec dura le temps d’un éclair » , vint ensuite l’éclipse de l’idéalisme Grec platonicien, fondement de l’Occident, par le matérialisme oriental qui est à l’œuvre à Rome, Jérusalem, Byzance et Cordoue, et il faudra attendre Descartes pour que la spiritualité platonicienne, étouffée par l’aristotélisme qui était comme par hasard ce que les juifs, les chrétiens, et les musulmans avaient retenu de la philosophie grecque:
https://leonbrunschvicg.wordpress.com/about/
« Les « valeurs méditerranéennes », celles qui ont dominé tour à tour à Jérusalem, à Byzance, à Rome et à Cordoue, sont d’origine et de caractère asiatique…… »
« C’est de Descartes que date le retour à la spiritualité pure par laquelle Platon avait mis en évidence le caractère de la civilisation occidentale : « Toutes les sciences (écrit-il dans la première des Règles pour la direction de l’esprit), ne sont rien d’autre que la sagesse humaine, laquelle demeure toujours une et identique, tout en s’appliquant à divers sujets, sans se laisser différencier par eux, plus que la lumière du soleil par la variété des choses qu’elle éclaire. » Mais l’humanisme de la sagesse ne manifestera toute sa vertu dans la recherche de la vérité, que s’il a conquis, par une ascèse préalable, sa liberté totale à l’égard des préjugés de la conscience collective. De cette ascèse, Descartes sera redevable aux Essais de Montaigne. »
Mais que s’est il passe alors pendant la « crise de la conscience européenne », de 1680 à 1715, et surtout après 1715, après la mort de Malebranche qui était le dernier des « grands » cartésiens ?
Il s’est passé que l’humanité européenne a connu le destin de Narcisse qui fasciné par son image dans l’eau (c’est à dire par le plan vital qui ne renvoie que la fausse image de la personne, non universelle donc non adéquate à la vérité) est tombé dans le cours d’eau et s’est noyé.
Dans le cas de l’Europe cette fascination par le moi personnel, vital et social, commence avec la « profondeur vide des Lumières » au 18ème siècle, elle est représentée par Danton lors de la Révolution française et provoque en retour la Terreur qui signe l’échec de tout projet d’émancipation réelle. Puis commencent à arriver les nouveaux objets inventés par l’industrie et la fascination grandissante qu’ils exercent.
Résumons : l’humanité européenne a été incapable d’accomplir le projet du 17 eme siècle , et s’est progressivement enlisée dans le naturalisme, ce qui est le diagnostic de Husserl en 1936, qui attribue cet enlisement à la crise des sciences positives qui n’ont plus rien à nous dire « dans la détresse de notre vie » (1936 en Allemagne) sur les questions importantes, touchant au sens de l’existence humaine.
Ce qui signifie dans notre terminologie : impuissante à définir une approche et une compréhension juste du plan spirituel, l’Europe sombre peu à peu, aux 19ème et 20 eme siècle, dans le naturalisme qui est le véritable athéisme : la thèse selon laquelle il n’y a que le plan vital.
Seulement l’athéisme positif , celui qui détruit les fausses conceptions, religieuses, du plan spirituel, n’en a pas moins joué son rôle à partir du 18ème siècle, et il est impossible de revenir en arrière, si bien que l’on en arrive à ce que révèlent les enquêtes de la fin du vingtième siècle, qui révèlent que les européens , même s’ils gardent une pratique religieuse minimaliste, ne croient plus aux « grands récits » sur un destin de la personne « après la mort », ce qui n’était qu’un voile mythique jeté sur la vérité du plan spirituel dont l’accès réclame comme condition préalable la « mort » (ascétique, initiatique) au plan vital.
En même temps des conceptions sectaires de l’initiation se font jour à partir du 19 eme siècle : théosophie, Golden dawn, anthroposophie etc..et créent un climat délétère d’où le nazisme prendra son envol.
C’est que l’humanité européenne n’arrive pas à faire l’effort (sans doute parce
Qu’elle ne connaît de la science que sa version vulgarisée) que pour détruire les fausses conceptions du plan spirituel, il fallait en connaître la vraie version : le « vêtement d’idées mathématiques » qui est derrière les théories scientifiques qui ont amené au 17 eme siècle le « déplacement dans l’axe de la vie religieuse »:
https://leonbrunschvicg.wordpress.com/2012/09/11/la-querelle-de-latheisme-de-brunschvicg/
« Le fait décisif de l’histoire, ce serait donc, à nos yeux, le déplacement dans l’axe de la vie religieuse au XVIIesiècle, lorsque la physique mathématique, susceptible d’une vérification sans cesse plus scrupuleuse et plus heureuse, a remplacé une physique métaphysique qui était un tissu de dissertations abstraites et chimériques autour des croyances primitives. L’intelligence du spirituel à laquelle la discipline probe et stricte de l’analyse élève la philosophie, ne permet plus, désormais, l’imagination du surnaturel qui soutenait les dogmes formulés à partir d’un réalisme de la matière ou de la vie. L’hypothèse d’une transcendance spirituelle est manifestement contradictoire dans les termes ; le Dieu des êtres raisonnables ne saurait être, quelque part au delà de l’espace terrestre ou visible, quelque chose qui se représente par analogie avec l’artisan humain ou le père de famille. Étranger à toute forme d’extériorité, c’est dans la conscience seulement qu’il se découvre comme la racine des valeurs que toutes les consciences reconnaissent également. À ce principe de communion les propositions successivement mises au jour et démontrées par les générations doivent leur caractère intrinsèque de vérités objectives et éternelles, de même qu’il fonde en chacun de nous cette caritas humani generis, sans qui rien ne s’expliquerait des sentiments et des actes par lesquels l’individu s’arrache à l’égoïsme de la nature. Ce Dieu, il faudra donc l’appeler le Verbe, à la condition que nous sachions entendre par là le Verbum ratio (λόγος ἐνδιάθετος) dont le Verbum oratio (λόγος προφορικὸς) est la négation bien plutôt que le complément, avec tout ce qui, par l’extériorité du langage à la pensée, s’est introduit dans les cultes populaires : mythes de révélations locales et de métamorphoses miraculeuses, symboles de finalité anthropomorphique.» »
En d’autres termes : la masse de l’humanité européenne est incapable d’accéder au « Temple » du Dieu des philosophes et des savants, mais elle ne peut pas non plus revenir en arrière (sauf une minorité religieuse bien sûr) dans le giron du Dieu des religions abrahamiques : elle se retrouve donc, surtout dans les 70 années de 2945 à 2015, dans l’attitude de l’athéisme pratique selon laquelle il n’y a que le plan vital et pas de plan spirituel, les idées n’étant vues que comme une superstructure du monde naturel. C’est aussi ce que Badiou nomme l’attitude du matérialisme démocratique :
« il n’y a que des corps et des langages »…et des droits, ajouterons nous..
Or cette attitude est impossible à maintenir sur une longue période : l’examen de l’histoire passée le montre,niais aussi la réflexion, car nous savons bien tous que « la vie est une affaire qui ne rembourse pas ses dettes » (Schopenhauer) ou bien « un pauvre comédien qui se pavane sur la scène une heure durant et qu’ensuite on n’entend plus, une histoire racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, ne signifiant rien » (Macbeth).
D’où l’attitude suicidaire des peuples européens, tellement évidente pour qui regarde encore le JT du soir.
La période 1945-2015 peut s’analyser comme un faux relèvement, celui des Trente glorieuses, uniquement productif et économique, accompagné d’une montée du nihilisme dans les arts et les philosophies de la de construction : dans « De l’esprit », Derrida compare ainsi l’esprit à une fermentation gazeuse, à une sorte de flatulence.
Un film ou plutôt une trilogie de trois films, « Welcome un Vienna », réalisée par Axel Corti dans les années 80 montre les raisons de cette montée du nihilisme à partir de 1945, parce que les questions de fond, spirituelles et religieuses, n’ont pas été traitées :
https://meditationesdeprimaphilosophia.wordpress.com/dieu-croit-il-encore-en-nous/
Cette volonté de suicide, difficile à enrayer, se manifeste aux niveaux politiques, economiques, et « culturels ».
Mais un auteur comme Raymond Abellio parle quant à lui d’une « Assomption de l’Europe »:
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