Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
parce qu’il n’en reste pas, comme c’est souvent le cas, aus divers « devoirs » (de mémoire, etc..) qu’il remplace par le devoir de penser ..ce qui est prétendu impensable..c’est au cœur de la philosophie qu’il entend « porter le fer » , le cœur radio-actif de la philosophie, « c’est-à-dire dans cette fascination par la transcendance quelle qu’elle soit ».
Mais ici se situe un risque de méprise et de confusion, lorsqu’il continue « Autant l’avouer sans détour, pas de philosophie qui ne se présente comme la « solution finale » des problèmes, de tous et donc aussi de celui qui fut nommé métaphysiquement ainsi dans l’Histoire. Peu de philosophies contemporaines non plus qui, averties, n’essaient de s’arracher au caractère inquiétant que véhiculent toutes les idéologies de la « fin » et des « fins ». »
Car la « Science internelle » que nous méditons ici se présente aussi comme « fin de…