Une rose seule, c'est toutes les roses et celle-ci : l'irremplaçable, le parfait, le souple vocable encadré par le texte des choses. Comment jamais dire sans elle ce que furent nos espérances, et les tendres intermittences dans la partance continuelle.
Oublions tout ce qui a été dit à propos de ce film, qui est d’abord d’une stupéfiante beauté ; l’appartement rue Jules Verne y est un endroit en dehors de l’histoire et de la vie, où le plan vital du renouvellement des générations, des histoires de familles, se dérègle et sort de ses gonds .. une fois les deux protagonistes sortis de cet endroit, ils retrouvent les « noms » etl’histoire qui court vers la Mort , symbolisée par le dernier tango…le tango, danse d’érotisme, d’amour et donc de mort .. on n’échappe pas à la Loi de la vie et de l’histoire « vallée des ossements » et tout le monde le sait très bien…comme tout le monde sait faire des enfants, pas besoin d’apprendre, c’est comme pour mourir, n’importe qui y réussit très bien la première et unique fois